Aujardin de mon père. L’était un gros ballon. Tout rond comme la terre. En vert et bleu profond. Sous le pont. Danse et ris, mon compère. Les beaux jours viendront. Des lacs et des rivières. Des plaines, des vallons.
Aeonium plante grasse méditerranéenne appartient à la famille des crassulacées. Elle est originaire de pays chauds : îles Canaries, Madère, Maroc et de l'Ethiopie. Cette plante est belle, robuste et très facile à cultiver, entretenir et à multiplier. Elle décore magnifiquement jardins, serres, terrasses et intérieurs.
Parolesde la comptine Au jardin de ma grand-mère : Au jardin de ma grand-mère, Tralalère tralalère, j'ai rencontré une sorcière La sorcière qui mangeait des vers de terre Anne Mailloche 8 abonnés Informations complémentaires
Fast Money. Paroles de la chanson Jacques Brel Bruxelles 1962 lyrics officiel Bruxelles 1962 est une chanson en Français C'était au temps où Bruxelles rêvait C'était au temps du cinéma muet C'était au temps où Bruxelles chantait C'était au temps où Bruxelles bruxellait Place de Broukère on voyait des vitrines Avec des hommes des femmes en crinoline Place de Broukère on voyait l'omnibus Avec des femmes des messieurs en gibus Et sur l'impériale Le cœur dans les étoiles Il y avait mon grand-père Il y avait ma grand-mère Il était militaire Elle était fonctionnaire Il pensait pas elle pensait rien Et on voudrait que je sois malin C'était au temps où Bruxelles chantait C'était au temps du cinéma muet C'était au temps où Bruxelles rêvait C'était au temps où Bruxelles bruxellait Sur les pavés de la place Sainte-Catherine Dansaient les hommes les femmes en crinoline Sur les pavés dansaient les omnibus Avec des femmes des messieurs en gibus Et sur l'impériale Le cœur dans les étoiles Il y avait mon grand-père Il y avait ma grand-mère Il avait su y faire Elle l'avait laissé faire Ils l'avaient donc fait tous les deux Et on voudrait que je sois sérieux C'était au temps où Bruxelles rêvait C'était au temps du cinéma muet C'était au temps où Bruxelles dansait C'était au temps où Bruxelles bruxellait Sous les lampions de la place Sainte-Justine Chantaient les hommes les femmes en crinoline Sous les lampions dansaient les omnibus Avec des femmes des messieurs en gibus Et sur l'impériale Le cœur dans les étoiles Il y avait mon grand-père Il y avait ma grand-mère Il attendait la guerre Elle attendait mon père Ils étaient gais comme le canal Et on voudrait que j'aie le moral C'était au temps où Bruxelles rêvait C'était au temps du cinéma muet C'était au temps où Bruxelles chantait C'était au temps où Bruxelles bruxellait Droits parole paroles officielles sous licence Lyricfind respectant le droit d' des paroles interdite sans GERARD EMILE JOUANNEST, JACQUES ROMAIN G. BRELCopyright Universal Music Publishing Group
Les beaux jours sont enfin arrivés ! Profitez de cette belle saison pour préparer votre coin extérieur et lui donner un air de renouveau. Comment donner du cachet à un jardin, surtout quand il s'agit d'un petit espace ? C'est une question que beaucoup de personnes se posent. Pour vous donner des idées, découvrez 3 astuces pour décorer et apporter du charme à un petit … [Lire plus...] à proposDonnez plus de cachet à un petit jardinEn été, le jardin est un lieu privilégié pour la détente, l'amusement, pour profiter du beau temps. Toutefois, un fort ensoleillement peut nuire à l'ambiance générale. La tendance étant plutôt aux étés de plus en plus chauds, il est opportun d'ajouter une zone d'ombre dans votre extérieur. Pour ce faire, plusieurs options s'offrent à vous. Optez pour la pergola bioclimatique … [Lire plus...] à proposApportez de l’ombre à votre jardinDès que le printemps est là , on commence à profiter de nos espaces outdoor. Un jardin bien aménagé et entretenu favorise la détente et la convivialité. N'oubliez pas que le contact avec la nature a un impact positif sur notre mental et notre physique. De plus, le jardin est le premier élément que vos visiteurs verront de votre maison. D'où l'importance de soigner la décoration … [Lire plus...] à propos3 astuces pour embellir un jardinPhacélie engrais vert, graines de fleurs, Phacelia est un genre botanique de la famille des Hydrophyllaceaes à planter pour développer un engrais vert. Cette plante se cultive car elle agit sur le sol. Elle augmente sa fertilité. Sa culture ne se récolte pas mais se fauche avant sa mise en grain. Puis, on la laisse sur le sol comme paillage organique. Cette plante protège … [Lire plus...] à proposPhacélie engrais vert, graines de fleurs à planter maintenantPlants répulsifs des pucerons pour protéger les fraises, les tomates ou les haricots verts. Il a plu pendant plusieurs jours puis le soleil a dardé ses rayons sur les jeunes pousses de mon jardin. Très sincèrement, j'étais heureuse de ces pluies car je me réjouissais de voir les bourgeons apparaître et les jeunes pousses reverdirent. Puis, des petits points blancs … [Lire plus...] à proposPlants répulsifs des pucerons, plantes odorantes repoussoirs naturels
Voici un ensemble de 34 textes profanes ou religieux qui peuvent être choisis au moment du dernier adieu. Document contenant les textes ci-dessous à télécharger ici. T1 – Il restera de toi Il restera de toi ce que tu as donnéAu lieu de le garder dans des coffres restera de toi, de ton jardin secret,Une fleur oubliée qui ne s’est pas que tu as donné en d’autres qui perd sa vie un jour la restera de toi ce que tu as offertEntre tes bras ouverts un matin de restera de toi ce que tu as perduQue tu as attendu plus loin que tes que tu as offert en d’autres qui perd sa vie un jour la trouveraIl restera de toi une larme tombéeUn sourire germé sur les yeux de ton restera de toi ce que tu as seméQue tu as partagé aux mendiants du qui as semé en d’autres qui perd sa vie un jour la trouvera. T2 – C’est bien naturel Quand on pense à ton grand âgec’est bien naturel que tu sois nous y attendions;Il y avait si longtemps que tu souffrais que tu t’affaiblissaiset que tu nous disais mon heure nous souffrons car ceux qu’on aime n’ont pas d’ les aime, c’est retrouves maintenant ceux que tu as sont partis déjà depuis bien ne les connaissions pasmais tu nous en parlaismaintenant tu les toi, le Christ, la Vierge Marie et tous les saintsvont accourir ils te prennent par la mainpour te mener au Père. T3 – Le vaisseau Je me repose sur le vaisseau non loin de moi,dans sa course vers l’Océan,étend ses voiles blanchesdans la brise du incarne la beauté et la force,et je reste là à le regarder s’éloignerjusqu’à ce qu’il devienne un petit point blanc,un petit morceau de nuage,là où le ciel et la mer se marient à l’ quelqu’un s’écrie à mes côtés »Voilà , il est parti ! »Partir où ?Il n’est plus visible à l’oeil nu, c’est coque, sa mâture et sa verguesont aussi majestueusesque lorsqu’il était près de moi,et il est aussi capable de porter son équipageet ses passagers à bon rapetissement est en moi, et non en juste au moment oùquelqu’un à mes côtés s’écrie »Il est parti ! »d’autres yeux l’attendentde l’autre côté de l’horizonet d’autres voix s’apprêtent à crier »Le voici, il arrive ! »Voilà ce qu’est le mourir. T4 – Espérance Auteur Mgr Bougaud La grande et triste erreur de quelques-uns, mêmes bons,c’est de s’imaginer que ceux que la mort emporte nous ne nous quittent pas. Ils sont-ils ? Dans l’ombre ?Oh non, c’est nous qui sommes dans l’ sont à côté de nous sous le voile, plus présents que ne les voyons pas parce que le nuage obscur nous enveloppe,mais eux nous tiennent leurs beaux yeux pleins de gloirearrêtés sur nos yeux pleins de consolation ineffable, les morts sont des invisibles,ce ne sont pas des souvent pensé à ce qui pourrait le mieux consoler ceux qui voici c’est la foi à cette présence réelle et ininterrompue de nos morts l’intuition claire, pénétrante que par la mort ils ne sont ni éteints,ni éloignés, ni même absents, mais vivants, près de nous ;heureux, transfigurés,et n’ayant perdu dans ce changement glorieuxni une délicatesse de leur âme,ni une tendresse de leur cœur,ni une préférence de leur amour ;ayant au contraire dans ces profonds et doux sentiments,grandi de cent mort pour les bons est la montée éblouissante dans la lumière,dans la puissance et dans l’ qui jusque-là n’étaient que des chrétiens ordinaires, deviennent parfaits ; ceux qui n’étaient que beaux deviennent bons ;ceux qui étaient bons deviennent sublimes ! T5 – La mort n’est rien Auteur Chanoine Henri Scott Holland 1847-1918 La mort est rien. Je suis simplement passé dans la pièce à côté. Je suis moi. Tu es que nous étions l’un pour l’autre, nous le sommes le nom que tu m’as toujours comme tu l’as toujours pas de ton prends pas un air solennel ou à rire de ce qui nous faisait vivre Souris. Pense à moi. Prie pour mon nom soit toujours prononcé à la maisoncomme il l’a toujours emphase d’aucune sorteet sans trace d’ vie signifie ce qu’elle a toujours reste ce qu’elle a toujours fil n’est pas serais-je hors de ta pensée,simplement parce que je suis hors de ta vue ?Je t’attends. Je ne suis pas de l’autre côté du vois, tout est bien. T6 – Ils sont toujours vivants Auteur Martin Gray Je n’ai qu’une certitude Ceux que j’ai aimés, ma famille, mes camarades, mes enfants,Demeurent vivants en moi. Ils guident encore mes être fidèle, ce n’est pas s’enfermer dans la faut continuer de creuser le sillon droit et ils l’auraient fait on l’aurait fait avec eux, pour fidèle à ceux qui sont morts,C’est vivre comme ils auraient vécu, c’est les faire vivre en nous,C’est transmettre leur visage, leur voix, leur message aux la vie des disparus germe sans ne sais pas si je dois me dire ne puis dire je crois en ne puis dire non plus je crois…Ce que je sais seulement,C’est que la mort ne détruit pas l’amour que l’on portaitA ceux qui ne sont plus…Je le sais parce que tous les jours je vis avec les miens…Ce que je sais aussi, c’est que la vie doit avoir un que je sais encore, c’est que l’amour est la clé de l’ que je sais enfin, c’est que l’amour, le bien, la fidélité et l’espoirTriomphent finalement toujours du mal, de la mort et de la cela, je le sais, je le crois…Dieu est-il au creux de ces certitudes ?Je ne sais pas… Je cherche… T7 – À ceux que j’aime Auteur Charlotte Néwashish-Flamand À ceux que j’aime et ceux qui m’aimentQuand je ne serai plus là , moi partir, j’ai tellement de choses à faire et à voir. Ne pleurez pas en pensant à moi,soyez reconnaissants pour les belles années,je vous ai donné mon amitié,vous pouvez seulement deviner le bonheurque vous m’avez apporté. Je vous remercie de l’Amourque chacun m’a démontré,maintenant il est temps de voyager un court moment, vous pouvez avoir de la Foi vous apportera réconfort et serons séparés pour quelques les souvenirs apaiser votre douleur,je ne suis pas loin et la Vie continue… Si vous en avez de besoin,appelez-moi et je si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je serai si vous écoutez votre cœur,vous éprouverez clairement la douceurde l’amour que j’ quand il sera temps pour vous de partir,je serai là pour vous de mon corps, présent avec Dieu. N’allez pas sur ma tombe pour pleurer,je ne suis pas là , je ne dors suis les mille vents qui suis la lumière qui traverse les champs de blé. Je suis la douce pluie d’ suis l’éveil des oiseaux dans le calme du suis celui qui brille dans la pas sur ma tombe pour pleurerje ne suis pas là , je ne suis pas mortAu revoir. T8 – Nous n’avons jamais su Nous n’avons jamais su vraiment ce que tu pensais sur plein de choses pourtant ne parlais jamais de Dieu, mais tu allais à l’église de temps en temps pour dire adieu à tes amis quand ils mouraient, pour partager la joie de ceux qui se mariaient, pour accueillir les enfants de la famille ou des amis quand on les baptisait et pour les entourer plus tard quand ils faisaient leur première communion. Aujourd’hui, nous tes proches nous te disons adieu,Nous espérons que silencieusement tu as rejointCeux que tu aimais, ceux dont tu avais partagé le travail, les soucis,Ceux que tu avais aidés ou qui t’avaient rendu service. Demain, nous aussi nous partironsSans avoir terminé notre travail,Nous laisserons sans doute des choses à faire,Nous abandonnerons nos travaux entreprisQue d’autres, à notre place, poursuivront. Mais ce jour-là nous espérons te retrouver,nous viendrons, silencieusement,nous asseoir auprès de toidans la maison de Dieu. T9 – Rien qu’un petit mot Rien qu’un petit mot pour te dire que l’on ne t’oubliera pas,que l’on se souviendra toujours de ton visage,et de ton sourire radieux. Rien qu’un petit mot pour te demanderde nous aider à surmonter les rudes épreuves d’ici-bas. Pour te supplier de nous envoyer, du plus profond de ta victoire,ce petit morceau de bonheur, qui s’est perdu dans le labyrinthe de la haine. Rien qu’un petit mot pour t’implorer d’effacerles fissures, les injures, les obstacles, les te rappeler que l’on compte sur toi,que l’on a besoin de ta force,enfin, rien qu’un petit mot pour t’affirmerque l’on t’aime d’un amour si puissantque le plus grand palais, que le plus pur rubis,n’est, en comparaison, qu’éphémère beauté. T10 – Je ne vous ai pas quitté Auteur Charles Péguy Je suis seulement passé dans la pièce à suis moi, vous êtes que nous étions les uns pour les autres, nous le sommes le nom que vous m’avez toujours de moi comme vous l’avez toujours pas un ton différent,ne prenez pas un air solennel et de rire de ce qui nous faisait rire souriez, pensez à moi, priez pour mon nom soit prononcé comme il l’a toujours été,sans emphase d’aucune sorte, sans une trace d’ vie signifie tout ce qu’elle a toujours est ce qu’elle a toujours été. Le fil n’est pas serai-je hors de votre pensée,simplement parce que je suis hors de votre vue ?Je vous attends. Je ne suis pas loin, juste de l’autre côté du chemin. T11 – Hymne pour le futur Quand je mourrai, je veux que l’on sache que je ne suis pas morte…Je serai à chacun toute entière présente,à chacun des amis, des aimés, des que je n’aurai pas su faire de mon vivant,je parviendrai enfin à le réaliser être tout à chacun, sans m’isoler de l’ sourire en Dieu effacera les larmes de la séparation,misérable illusion de nos yeux d’incarnés qui ne savent pas serai avec vous dans vos instants de le silence installé dans vos cœurs,vous laisserez tranquilles s’écouler vos pensées,je viendrai visiter vos âmes et m’y asseoir,comme dans la maison ouverte d’un puis être avec vous lorsque vous m’appelez,par un élan d’amour, une forte pensée,et vivre en même temps quelque part en ailleurs ».Surtout mes amis, ne pleurez pas…Faites-moi, je vous prie, cette grâce dernière offrez votre paix, le sourire du une image doit rester choisissez la plus belle, la plus gaie,celle où sur mon visage étincelait la ainsi que ma joie répondra à votre puis, si vous pouvez, si cela vous agrée, je vous en prie, pas une prière-demande,ni une prière pour les morts, ni une prière de commande…Mais lorsqu’au cœur du Christ vous serez reliés,introduisez en vous mon image un instant,et mettez-moi au chaud dans votre élan de ? Non – Au revoir ?… Disons A maintenant » T12 – C’est qui, grand-mère ? Grand-Mère, dans le dictionnaire,c’est la mère de notre père ou de notre ce ne sont là que des mots !C’est qui en fait Grand-Mère?Grand-Mère, c’est comme Amour,celui que J’on donne avec liberté, générosité, c’est comme Réconfort,quelle force, quel courage de redonner le moral,la confiance à ceux qui l’ont perduequand on est âgée comme toi !Grand-Mère, c’est comme Bonté,partager, regarder, se préoccuper de son prochaincomme tu savais si bien le faire !…Grand-Mère, c’est comme Gâteau,ces après-midi passés ensemble,goûters, jeux, chansons, enfance, joie…Grand-Mère, c’est comme Foi,la tienne est si grande, si simple et si pureque cela nous donnait envie de l’accaparer !Grand-Mère, c’est comme Prière,ce temps passé, ces tonnes de mots prononcés,cette énergie déployée, cette volonté !.. Formidable !..Grand-Mère, c’est comme Famille,le trait d’union, le lien, le centreparce que l’on se sentait bien auprès de toi, c’est comme Souffrance,celle qui t’accompagnait tous les jourset que tu offrais, sans te plaindre, toujours !Aujourd’hui, Grand-Mère, c’est comme une Douleur…Tu n’es plus là … Mais si !.. Mais non !.. C’est pas possible !..J’te vois encore… Il y a quelque chose qui m’échappe c’est le vide, le regret. Nous sommes tristes… Mais non, il faut se réjouirTu es Là -Haut, avec Lui, avec Eux, avec Nous… Tu es c’est comme Bonheur, enfin !…Merci, Grand-Mère ! T13 – Grand père vient de mourir Grand-Père vient de mourir…Il n’allait pourtant pas si mal ! …Nous aurions pu penser être préparés à cet événementet pourtant sa mort nous bouleversecomme si elle n’avait dû jamais se produire !Il était si bon ! Il comprenait tout !Je sais que la mort d’un enfant apparaît plus horrible, scandaleuse,ou celle d’une jeune maman…Mais, l’idée que la mort de Grand-Père serait normaleparce qu’il était âgé ça nous est-ce vrai que notre machine, une fois usée,N’a plus qu’à s’arrêter…Mais, Grand-Père n’était pas qu’une machineC’était Lui »Nous aurions voulu qu’il vive mille ans !Vous direz que je perds la tête ;Mais n’est-ce pas la mort qui est absurde ?Oh, nous savons que tout cela est bien banal,la mort est un sujet de réflexions, de philosophie,de littérature inépuisable!Mais nous n’arrivons pas à croire que tout soit simplement absurde qu’on naisse sans savoir pourquoi,qu’on meure sans savoir pourquoi, et c’est tout !Il doit y avoir un sens, une cause cachée !Qu’une plante meure, qu’un chien meure, peut-être…mais pas Grand Père ! Les yeux qu’on ferme voient encore »…oui, il doit y avoir quelque chose de cela !Mais si quelquefois la vie nous fait douter,Au fond de nous mêmes, nous croyons qu’il y a DieuEt la vie éternelle après la cela nous console?.. Non, ce n’est pas le cependant ça change tout…La mort, le péché, le mal, le Christ ??? …Peut-être y a-t-il à tout cela une explicationqu’un jour nous saurons ?..Je le voudrais ! T14 – Des traces sur le sable Auteur Adémas De Barras J’ai rêvé que je cheminais sur la plage en compagnie du Seigneur,et que, dans la toile de ma vie, se réfléchissaient tous les jours de ma regardé en arrière, et j’ai vu qu’à ce jouroù passait le film de ma vie surgissaient des traces sur le sable ;l’une était mienne, l’autre celle du nous continuions à marcherjusqu’à ce que tous mes jours fussent je me suis arrêté, j’ai regardé en retrouvé alors qu’en certains endroitsil y avait seulement une empreinte de pied…Et ces lieux coïncidaient justement avec les jours les plus difficiles de ma vie,les jours de plus grande angoisse,de plus grande peur, et de plus grandes douleurs…J’ai donc interrogé Seigneur, tu as dit que tu étais avec moi tous les jours de ma vie,et j’ai accepté de vivre avec pourquoi m’as-tu laissé seul,dans les pires moments de ma vie ? Et le Seigneur me répondit Mon Fils, je t’aime, j’ai dit que je serais avec toi durant la promenade,et que je ne te laisserais pas une seule ne t’ai pas jours où tu as vu à peine une trace sur le sablefurent les jours où je t’ai porté… » T15 – Le suprême jour de l’homme Auteur Jacques LECLERCQ Je suis la résurrection et la vie, dit JésusQui croit en moi, fût-il mort, je crois oui je crois qu’un jour ton jour Ô mon Dieu !Je m’avancerai vers toi, avec mes pas titubants,avec toutes mes larmes dans mes mains,et ce coeur merveilleux que tu nous as donné,ce coeur trop grand pour nous puisqu’il est fait pour toi…Un jour, je viendrai, et tu liras sur mon visage toute la détresse,tous les combats, tous les échecs des chemins de la liberté,et tu verras tout mon je sais, ô mon Dieu, que ce n’est pas grave le péché,Quand on est devant c’est devant les hommes que l’on est devant toi, c’est merveilleux d’être si pauvre, puisqu’on est tant aimé!Un jour, ton jour, Ô mon Dieu, je viendrai vers toi. ,Et dans la formidable explosion de ma résurrection,je saurai enfin que la tendresse, c’est toi,que ma liberté, c’est encore viendrai vers toi, ô mon Dieu, et tu me donneras ton viendrai vers toi avec mon rave le plus fou t’apporter le monde dans mes viendrai vers toi et je te crierai à pleine voixToute la vérité de la vie sur la ! J’ai tenté d’être un Homme et Je suis ton enfant T16 – Passage vers la vie Auteurs Sr Marie-Pierre Chambarand – Fr Pierre-Yves Taizé O mort, où est ta victoire ?La Pâque du Christ fait de toi sa servanteTe voilà passage vers la vie, éternelle épreuve pourtant obliger nos mains,à lâcher ce qu’elles tiennent, Te laissernous ravir à Seigneur des vivantsnous libère de l’emprise de la la croix, Jésus nous a aimés La mort qui sépare et détruitdevient signe d’ saison du grain jeté en terreannonce le temps de la moisson la mort vaincue est semence de la de frères et de soeurs que la mortnous a pris creuset de solitudepour une communion sans limite. T17 – Pour un nouveau voyage ? Quelqu’un meurt, et c’est comme des pas qui s’arrêtent…Mais si c’était un départ pour un nouveau voyage?Quelqu’un meurt, et c’est comme un arbre qui tombe…Mais si c’était une graine germant dans une terre nouvelle?Quelqu’un meurt, et c’est comme une porte qui claque…Mais si c’était un passage s’ouvrant sur d’autres paysages?Quelqu’un meurt, et c’est comme un silence qui hurle…Mais s’il nous aidait à entendre la fragile musique de la vie? T18 – Ici s’achève ton chemin Ici s’achève ton chemin parmi nous,Mais ici nous reviendronsPour nous souvenir pour continuer avec toi,dans le même sens, ces années où nous avons marché voici avec toi au momentoù tu entres dans une communion nouvelle et plus forte avec que tu as vécu, tout cela continue aujourd’hui,et l’élan que tu as pris, qui l’arrêtera ?Et maintenant, Seigneur Jésus-Christ,c’est vers toi que nous regardons,toi, l’un de nous, toi, plus grand que nous ;ce que tu as vécu sur cette terre,tout cela continue à travers nous ;et l’élan que tu nous a communiqué, qui l’arrêtera?Toi, en qui l’homme reconnaît son vrai visage,toi, qui nous appelles au delà de nous-mêmes,toi, déjà présent, dans ces liens noués entre les hommes toi,Jésus Christ, tiens nous debout dans cet amour plus fort que la mort. T19 – Un amour m’attend Auteur Mère Alice Aimée 1896-1976, carmélite Ce qui se passera de l’autre côté,Quand tout pour moi aura basculé dans l’éternité,Je ne le sais crois, je crois seulement, qu’un Amour m’ sais pourtant qu’alors il me faudra faire,pauvre et sans poids, le bilan de ne pensez pas que je crois, je crois tellement qu’un Amour m’ je meurs, ne pleurez pas ;C’est un Amour qui me j’ai peur – et pourquoi pas ?- rappelez-moi simplementqu’un Amour Un Amour m’ va m’ouvrir tout entière à sa joie, à sa Père, je viens à toi dans le vent,dont on ne sait ni d’où il vient,Ni où il va, vers ton Amour, ton Amour qui m’attend. T20 – Comment veux-tu ? Comment veux-tu, Seigneur,que nous vivions dans la joielorsque ta tendresse nous conduitpar les sentiers de la peine,et que nous nous sentons seuls,abandonnés, sans grâces ? Comment veux-tu, Seigneur,que nous marchions heureux,insouciants, rayonnant ton Amourparmi nos frères ?Nous avons beau regarderles lys des champs et les passereaux… Comment veux-tu, Seigneur,que notre foi soit la plus forte,transfigurant notre vie en Espéranceet en Charité,quand chaque matin il nous fautrecharger notre douleur sur nos épaules ? Comment veux-tu, Seigneur,que nous chantions ta gloire,alors que vient d’être fauchéà nos côtés le blé en herbeet que nos yeux embrouilléspar les larmes te reconnaissent mal,Toi qui nous as dit »Je suis la Voie, la Vérité et la Vie » ? Comment veux-tu, Seigneur,que nous nous en sortions,si tu ne viens pas nous aiderà porter notre croix,afin que nous montionsvers la Pâque où tu gardes notre enfant ? T21 – Il essuiera toutes larmes de leurs yeux Auteur Stan Rougier De la Vie éternelle, je ne sais pas grand chose,sinon que plus jamais l’homme ne sera loup pour l’ plus jamais n’accablera, ne jugera, n’humiliera son frère,l’Absolu rassasiant notre coeur, nous verrons partout ses reflets. De la Vie à venir, je ne sais pas grand chosesinon que notre corps ne saura plus jamais cette angoisse qui nous étreint à la gorge…Les longues nuits avec ces cruels souvenirsde trop de grands bonheurs perdus,les nuits qui n’en finissent pas… »Dieu essuiera toute larme de leurs yeux.. » »De mort, il n’y en aura plus.. » »Car l’Ancien monde s’en est allé. » De la Vie qui viendra, je ne sais pas grand chose,sinon que la douceur aura gagné sur la fort n’écrasera plus le faible…Il n’y aura plus de faibles !Les hommes se déclareront la Paix. »L’enfant jouera sur le trou du cobra. »Chacun s’enchantera de la différence de l’autre,les parcelles de vérité, comme un puzzle achevé,seront réconciliées. »Les grandes eaux ne pourront éteindre l’Amour,ni les fleuves le submerger. » De la Vie qui t’attend, je ne sais qu’une chose…Dieu sera tout, en tous,l’Amour sera tout pour aura retrouvé la passerellequi mène au cœur de son frèreet qui a nom Esprit Saint. »Et cette joie, nul, jamais ne pourra la ravir. » T22 – Je suis parti Auteur Eric Lopez Vous qui me pleurez,Cessez d’être ne vous ai pas quittés,Je serai toujours avec vous,Je serai dans vos pensées,Je serai dans vos me garderez dans vos vous accompagnerai tout le long de votre je ne suis pas pleurez ne suis pas m’a accueilli dans son Anges veillent sur retrouvé ceux qui étaient le jour viendraOù vous me rejoindrez,Je serai là pour vous tendre la main,Et nous vivrons heureuxDans le Royaume du Dieu Éternel,Dans un pays où la plénitude est vous le dis, ne soyez pas pleurez pour vous entendrai. T23 – La mort Auteur Marthe Robin La mort c’est la grâce des grâceset le couronnement de notre vie n’est pas une fin comme,hélas encore trop le pensent,mais le commencement d’une belle ne marque pas l’heure de la dissolution d’une créature,mais son véritable développement,son plein épanouissement dans l’ complète notre possession dans la vie divine,en supprime les obstacles, qui, ici-bas,nous empêchent d’en jouir à notre nous permet de vaquer librementà l’Éternel Amour, d’avoir consciencequ’Il se donne à nous et de demeurer à jamais en Lui…Quand je pense à la mort prochaine, je me dis »tant mieux, bientôt j’irai voir le Bon Dieu ! ». T24 – Le jour où je partirai Auteur Jean-Pierre Morsa Le jour où je partirai, sache que je ne serai pas loin de où je vais le temps et l’espace sont bien rien ne pourra me faire oublier les joies de ta présence, toute cette route que nous avons marché ensembleavec ses cahots, ses dos d’ânes;ses rires, ses sais, lorsqu’on aime vraiment,Seuls les bons souvenirs demeurent;Le reste s’efface comme une vagues’échoue sur une plage la tendresse qui nous unit restera toujours comme un lien que je ne serai pas loin de toi. Le jour où je partirai,que le temps soit beau ou mauvais,mon coeur sera ensoleillé par cette véritéque j’ai longtemps côté de la vie qui fait peurparce qu’on croit quitter ceux qu’on où je vais, il n’y aura ni guerre, ni jalousie, ni misère, ni quitte ceux que j’aime pour retrouver ceux que j’ai serons tous un jour dans cette dimension qu’on appelle »amour, accueil et parfois même plénitude ».Ce jour, je saurai vraiment qui je suis; qui tu es; pourquoi je vous ai tant le temps soit beau ou mauvais,mon coeur sera ensoleillé. Le jour où je partirai,vous resterez pour moi bien plusque la photo vivante de visages de lumièrele ton d’une voix qui enchante la vie jusqu’à l’ vous attendrai car notre amour ne peut s’arrêter là , il ne peut que s’ si le temps vous semble long, pensez à moi, appelez moi comme vous l’avez toujours que vous avez toujours fait partie de moi par votre vous pleurez, je pleure, si vous riez, je vous aime de cet amour qu’on ne peut séparer ni par le temps, ni par l’ êtes pour moi la photo vivantede l’aventure de notre vie. Tu sais, tout est jour où je partirai vers l’autre rive,Tout notre passé sera là devant mes yeux,Comme le cadeau de ta présence et la soif de te revoir. T25 – Le suprême jour de l’homme Auteur Jacques Leclercq Je suis la résurrection et la vie, dit croit en moi, fut-il mort, vivra. Et je crois, oui, je crois qu’un jour, ton jour, ô mon Dieu, je m’avancerai vers Toi,avec mes pas titubants,avec toutes mes larmes dans mes mains,et ce cœur merveilleux que tu nous as donné, ce cœur trop grand pour nous puisqu’il est fait pour Toi… Un jour, je viendrai,et tu liras sur mon visagetoute la détresse, tous les combats,tous les échecs des chemins de la liberté,et tu verras tout mon je sais, ô mon Dieu,que ce n’est pas grave le péché,quand on est devant c’est devant les hommes que l’on est humilié, mais devant Toi, c’est merveilleux d’être si pauvre, puisqu’on est tant aimé ! Un jour, ton jour, ô mon Dieu, je viendrai vers dans la formidable explosion de ma résurrection,je saurai enfin que la tendresse, c’est Toi,que ma liberté, c’est encore viendrai vers Toi, ô mon Dieu,et tu me donneras ton viendrai vers Toi avec mon rêve le plus fou t’apporter le monde dans mes viendrai vers Toi, et je te crierai à pleine voixtoute la vérité de la vie sur la te crierai mon cri qui vient du fond des âges »Père, j’ai tenté d’être un Homme, et je suis ton enfant… » T26 – Ne pleurez pas, Je vous aime Dieu m’a rappelé, aussi avant de le rejoindre,je vous laisse ce message d’Adieu et d’ Au tous mes proches, mon épouse, mes enfants et petits enfants,Je vous demanderai de plus vos larmes, la vie pour vous que je pars pour l’Autre monde,heureux d’avoir vécu parmi au long de la vie que Dieu m’a donnéJ’ai pu vous apprécier et vous amour d’un époux, d’un père et d’un grand pèrequi j’espère très profondément,ne vous a été pas m’avez peut être plus aimé que j’ai su le faire,pardon s’il y en a été le monde Céleste qui m’attend,Sachez que je serai toujours près de présence sera largement remplacéepar celle du monde en l’amour que je vous ai toujours donné,comme celui que le Christ m’a pleurez plus, essayez de sourire car je vous aime troppour vous voir si suis et serai toujours près de vous parce que je vous tous mes amis, voisins, connaissances,Merci d’êtres ici, présents lors de mon ceux qui m’ont bien connus et aux autres,Je leur dis encore »Merci pour vôtre amitié ».J’arrive à la fin de mon message,Je ne vous dis pas Adieu mais Au revoirdans un monde Céleste que Dieu a fait pour ses aimez et remplissez bien la Vieque nous avons reçus du Pèreet vous serez heureux. T27 – Pour notre enfant parti si tôt Seigneur, nous avons du mal à comprendreque l’on puisse mourir si jeune,qu’une vie soit briséealors qu’elle commençait à s’éveiller. Tu nous vois déchirés et abattus ;la mort de notre enfant nous semble une injustice. Alors, nous nous tournons vers Toipour te dire notre peine. Ne nous laisse pas seuls au fond de notre tristesse ;aide-nous à supporter le vide qui s’est creusé parmi nous ; fortifie notre espérance au-delà de notre souffrance. Accueille mon tendre enfantcomme un père accueille en sa maison ;donne-lui le bonheur que Tu prometset l’éternelle jeunesse de Jésus-Christ. T28 – J’accepte volontiers Aujourd’hui, j’accepte volontiers vos pleurs,mais quand la peine sera passée,j’accepterai vos rires et votre humour comme vous gênez pas pour pleurer,car cela est nécessaire ;mais soyez conscients que vous pleurez sur le faites surtout pas pour moi,je suis délivrée et heureuse,car je peux enfin volercomme j’ai toujours rêvé de le seulement mon corps maladequi a disparu de la surface de notre vieille planète,mon Esprit, quant à lui,continuera sa route comme il doit le faire. J’ai accompli ma mission sur la terre,mais elle n’est pas finie pour vous avez besoin de mon aide,ne me tirez pas vers vousavec vos pleurs et vos lamentations vous savez que ce n’est pas mon plutôt vers moiet je vous aiderai à ma fait tellement de choses dans ma et moi avons pratiquement accomplitout ce que nous devions que je passe maintenant à autre c’est exactement ce que je suis en train de que soient vos croyances,conservez-les comme j’ai conservé les miennes,mais respectez toujours celles des autres car nul ne peut prétendre posséder la vérité. Pensez à la vie que je commence,et non à celle que je vous laisse en vous affirmantque même les pires évènements de la viepeuvent être vécus avec joie ne suis-je pas moi-même partie en douceur. Ma chanson préférée était » Que c’est beau la Vie »et je continue à la chanter ici, mort, telle que je l’ai vécueavec ceux qui m’ont accompagnéede façon si respectueuse,est une merveilleuse a été pour moi une véritable délivrance. En terminant, je vous laisse ce message Profitez de la vie à chaque instant qui même quand les nuages assombrissent votre ciel ; dîtes-vous qu’ils ne sont que à l’heure, en retournant chez vous,chantez intérieurement ou à pleine voix avec moi » Que c’est beau la Vie » .Faîtes de même lorsque mon souvenir remontera en vouset vous emplira de sera ma façon de vous donner une tape dans le dospour vous donner le courage de vivre pleinement votre vie. T29 – Au moment où tu t’en vas, Auteur Jacques Nieuviarts Au moment où tu t’en vas,nous avons comme un vide aux yeux et au cœur,mais en même temps une immense reconnaissance,une immense gratitude, pour ce qu’a été ta a plus que croisé la nôtre, elle l’a éclairée,elle y a apporté au fil des jours l’humour, le bonheur,parfois le silence, le frôlement du mystère,elle y a apporté le rire et la joie. Ta vie était tissée avec la nôtre,et toi, c’est un peu drôle, plus profond que la tristesse,c’est un bonheur de penser à toiet recueillir comme on recueille le mielcette respiration des jours que tu as éclairés pour nous. Ce qui fut ne peut rayer d’un trait de plumece que l’on a ainsi es parti, mais c’est mystérieux,ce sentiment que nous ressentons,de demeurer pourtant étrangement proches. Aujourd’hui, il y a des jours de silence,des jours vides ou comme privés de soleil,mais aussi tous ces jours où nous avons le sentimentque le ciel est ouvert et que – mais comment le dire ? –tu le rends si proche, un peu compagnon de marche,compagnon de nous poursuivons notre marche,et en pensant à toi, nous pensons autrement à Dieu,à toi Notre Père, qui es aux est grande ta bonté !Apprends-nous à marcher en ta présence,chercheurs discrets et confiants, tenaces aussi, de ta es béni, toi Notre celle, ceux qui nous ont, précédés,nous les confions à ton amour et à ta lumineuse aussi sur nous. Amen ! T30 – Cherchez en avant Auteur Pierre Teilhard de Chardin Celui qui est parti, ne le cherchez pas en arrière,ni ici, ni là , ni dans les vestiges matériels qui vous sont naturellement n’est plus là , il ne vous attend plus en avant qu’il faut le chercher,dans la construction de votre vie renouvelée… Soyez-lui fidèle là , et non point dans une sentimentalité rétrospectiveavec laquelle il faut avoir le courage de véritable trace n’est pas dans certaines manifestations de son disparition même, si douloureuse qu’elle puisse vous paraître,doit vous libérer, non vous déprimer. Non pas oublier, mais chercher en tout ce que vous pouvez sentir ou croire,reconnaître avec évidence que votre vie doit se suis persuadé qu’elle seulement à ne plus vivre dans le passé,ce qui ne veut pas dire que vous oublierez celui-ci,mais seulement que votre manière – la vraie – de lui être fidèledoit consister à construire en avant,c’est-à -dire à être digne de lui. Ne vous isolez donc vous repliez pas au fond de voyez le plus possible vos C’est ce don qui vous libérera et vous épanouira. T31 – Ne pleure pas si tu m’aimes Auteur Selon saint Augustin Si tu savais le don de Dieu et ce que c’est que le Ciel !Si tu pouvais, d’ici, entendre le chant des angeset me voir au milieu d’eux! … Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux les horizonset les champs éternels,les nouveaux sentiers où je marche Si un instant tu pouvais contempler comme moila Beauté devant laquelle toutes les beautés pâlissent ! Quoi ! Tu m’as vu, tu m’as aimé dans le pays des ombres,et tu ne pourrais ni me revoir,ni m’aimer encore dans le pays des immuables réalités ? Crois-moi, quand la mort viendra briser tes lienscomme elle a brisé ceux qui m’enchaînaient,et quand un jour que Dieu connaît et qu’il a fixé,ton âme viendra dans le Ciel où l’a précédée la mienne,ce jour-là tu reverras celui qui t’aimaitet qui t’aime encore, tu retrouveras son cœur,tu en retrouveras les tendresses épurées. À Dieu ne plaise qu’entrant dans une vie plus heureuse,infidèle aux souvenirs et aux vraies joies de mon autre vie,je sois devenu moins aimant ! T32 – Cette nuit ta vie s’est envolée Cette nuit ta vie s’est envoléeNous laissant dans la douleur et les pleursToi que nous avons aiméTon absence nous fend le cœur. Tu t’es éteint sans faire de bruitLe cœur en paix, l’esprit tranquilleToute ta famille autour de toiDernier adieu si difficile. Il restera les souvenirsLes bons moments passés ensembleL’écho lointain de tous nos riresCes petits riens qui nous rassemblent. Nos âmes blessées par ce départLes larmes brillent dans tous nos yeuxMais tu seras dans nos mémoiresComme avant toi tous nos aïeux. D’un naturel un peu blagueurToute cette tristesse t’aurait touchéQue tu sois la cause de notre malheurT’aurait certainement peiné. Cet au-revoir est le dernierGardons en nous une belle imageCelle de ton visage tant aiméJusqu’à la fin de ton voyage T33 – Tu es vivant Tu ne parles plus mais tu es ne bouges plus mais tu es ne souris plus mais en arrière de tes yeux tu me très loin ? Peut être de très près ?Je ne sais rien de ces ne sais plus rien de toi,mais tu sais maintenant davantage de choses sur es en ne sais pas ce que cela peut vouloir diremais sûrement ce que tu voulais et ce que je veux pour le ma foi, je la est maintenant mon seul lien avec donne-moi de croire à ta victoire sur la que j’aime veut entrer dans ta n’est pas prêt, je te prie pour lui, achève sa comme tu sais à vivre sans sa voix, sans ses je ne le déçoive pasmaintenant qu’il va me voir vivre et m’attendre. T34 – Nous te cherchons partout Paul Eluard Nous voici aujourd’hui au bord du vide puisque nous cherchons partout Ton visage que nous avons étais notre avenir Et nous avons perdu notre étais des nôtres Et nous avons perdu cette part de nous questionnais Et nous avons perdu ta voici seuls Nos lèvres serrées sur nos pourquoi. Nous sommes venus ici chercher , Chercher quelque chose Ou quelqu’ Chercher cet amour plus fort que tout. Nous te cherchons le silence C’est dans le silence, Dans le vide, dans l’absence, que je pense à toi, que je te sans dessein, je cours, je fuis sans fin. Notre rencontre, notre histoire, Notre amitié, ton départ. Ami, je t’aime… Vois mon cœur n’est plus le même… Penser à toi me fait souffrir, De la mémoire, je suis martyre. Mais je veux souffrir, crier, pleurer, Rêver de toi, t’imaginer. Tu es ma substance, ma nourriture. J’ai goûté une amitié si pure. Plus rien ne nous sépare… Même sans se revoir, Il y a une suite à notre histoire. On ne détruit pas une amitié si rare. Par la pensée, les souvenirs, Je continuerai à la vivre. Ami, rien ne te remplacera . Que tu sois beau, laid, esclave ou fenêtre ouverte La mort n’est jamais complète, il y a toujours puisque je le dis puisque je l’affirme au bout du chagrin une fenêtre ouverte, une fenêtre éclairée. Il y a toujours un rêve qui veille, désir à combler, faim à satisfaire, un cœur généreux, une main tendue une main ouverte des yeux attentifs une vie, la vie à se partager.
au jardin de ma grand mère paroles